Reproduction de tableaux de paysages naturels

Paysage – Scène de « Thanatopsis »
dès 21.07€ ttc

Lac George
dès 20.52€ ttc

Dans les bois
dès 19.73€ ttc

Scène de rivière
dès 20.13€ ttc

Vue sur Hallingdal
dès 20.52€ ttc

A Reconnaissance
dès 20.52€ ttc

Jérusalem depuis le mont des Oliviers
dès 20.52€ ttc

Une gorge dans les montagnes (Kauterskill Clove)
dès 18.31€ ttc

Patinage à Sloten, près d'Amsterdam
dès 20.13€ ttc

La Défense de Champigny
dès 23.36€ ttc

Le champion du skiff (Max Schmitt dans un skiff)
dès 20.13€ ttc

Stage Fort à travers le port de Gloucester
dès 22.41€ ttc

Paysage avec un ruisseau ensoleillé
dès 19.26€ ttc

Sous les chutes du Niagara
dès 19.26€ ttc

Rue paroissiale à Berlin
dès 20.52€ ttc

Vue dans la cour d'une auberge à Colmar
dès 19.73€ ttc

Un vieux pont à Hendon, Middlesex
dès 21.07€ ttc

Vue sur la Seine : Harpe des Vents
dès 20.13€ ttc

Le dépôt ferroviaire de la troisième avenue
dès 20.13€ ttc

Un mur, Nassau
dès 20.13€ ttc

La piscine à truites
dès 19.73€ ttc

Vue sur la colline du Quirinal, Rome
dès 19.73€ ttc

lever du soleil
dès 21.07€ ttc

Vue sur Ornans
dès 19.73€ ttc

Champs de blé
dès 19.26€ ttc

Paysage avec un village au loin
dès 20.52€ ttc

Girgenti (le temple de Westinghouse à Agrigente)
dès 20.52€ ttc

Thermes de Trajan (Sette Sale, Villa Brancaccio, Rome)
dès 20.52€ ttc

Chutes du Nevada, Yosemite
dès 19.26€ ttc

Les montagnes Rocheuses, Lander's Peak
dès 22.41€ ttc

Lever de soleil sur le Cervin
dès 19.73€ ttc

Rivière Merced, vallée de Yosemite
dès 20.13€ ttc

Coucher de soleil sur la mer
dès 20.52€ ttc

Le gobelet du Titan
dès 18.31€ ttc

Une vue près de Tivoli (matin)
dès 21.07€ ttc

Vue depuis le mont Holyoke, Northampton, Massachusetts, après un orage-l'Oxbow
dès 20.52€ ttc
Longtemps considérée comme une sous-catégorie de la peinture et utilisée comme simple décorum pour des scènes mythologiques ou religieuses, la peinture de paysage a commencé à gagner ses lettres de noblesse avec des peintres du classicisme tel Claude Lorrain. Par la suite, le paysage a pris de plus en plus d'importance dans l'art avec notamment les tableaux des artistes flamands puis, plus proche de nous, les toiles impressionnistes. Outre des reproductions de paysages impressionnistes ou flamands, vous trouverez ci-dessous nombre d'œuvres de peintres américains dont les paysages grandioses font écho au gigantisme de ce continent. Pour plus de choix, n'hésitez pas à consulter la section consacrée à la reproduction de paysages marins.
Le paysage est l’un des genres de peinture les plus connus. Dans un premier temps, l’amibition des peintres qui s’y frottent est de dépeindre un lieu ou un horizon. Cette mission artistique s’accorde aux divers mouvements et styles artistiques qui ont traversé les époques. Cependant une tendance reste : il faut montrer au spectateur ce qui est vu. Une fois l’apparition de la photographie, la peinture de paysage change fatalement : la photographie endosse le rôle de montrer de la plus fidèle des manières ce à quoi ressemble un lieu alors que la peinture peut davantage exprimer les sentiments ressentis au sein de cet endroit.
Les premiers temps
Dès l’Antiquité, on peut observer des paysages. Cependant, ils ne sont jamais au centre de la production artistique mais ne forment qu’un fond pour des personnages, au premier plan. On a longtemps cru que le paysage a été inventé par les Romains mais récemment, la découverte d’une façade de la tombe de Philippe II de Macédoine montre un détail dans l’environnement d’une scène de chasse tout à fait impressionnante. On y voit des montagnes en fond, des arbres et une diversité de rochers entourant la scène, plus proches du premier plan. Il faut noter que l’Antiquité est une période essentielle de l’art du paysage : c’est grâce à Euclide et ses découvertes mathématiques que l’on théorise la perspective et que l’on permet donc aux artistes de pouvoir peindre sur un matériel plan une vue qui est observable dans l’espace. Au Moyen-Âge, le paysage est avant tout peint à des fins religieux : on le magnifie pour montrer qu’il est l’oeuvre de Dieu. A la Renaissance, on redécouvre les avancées antiques et l’on peut reprendre la perspective. Grâce à celle-ci, les artistes usent de paysages en fond pour renforcer l’humanité de leurs personnages, qui s’introduisent dans un environnement à leur image. Cependant, le paysage n’est toujours pas perçu comme un élément artistique en soi, il n’est qu’un second plan à une scène plus concrète devant lui.
Le paysage comme élément central
Selon les spécialistes, il faut attendre Joachim Patinier, au XVIème siècle, pour observer les premiers paysages seuls. Ce peintre neérlandais était qualifié de « peintre de paysages » par ses contemporains. A cette période, l’apparition de la peinture à l’huile permet aux artistes de donner plus d’unité à leurs œuvres par la lumière et les couleurs.
Le XVIIème siècle surfe sur ces possibilités et fait du paysage un genre en vogue. Au Pays-Bas, notamment, on remarque une prolifération de paysages. Les maîtres les plus reconnus dans ce type de tableaux sont Ruisdael et surtout Vermeer.
Dans l’histoire de l’art, le paysage commence aussi à se faire une place. En 1667, dans son manuel intitulé Cours de peinture par principes, Roger de Piles parle par exemple de différents types de paysages.
Le tournant : la photographie
Au milieu du XIXème siècle, le romantisme porte le paysage à un niveau de détail inédit. Des peintres en font leur spécialité, comme Camille Corot et ses brouillards si caractéristiques.
Par la suite, il faut attendre l’arrivée de la photographie pour que le rapport des artistes aux paysages change vraiment. Ceux-ci commencent à se baser sur les clichés photographiques pour peindre leur paysage mais doivent apporter autre chose pour se différencier. Ils se servent aussi de la photographie pour s’inspirer, comme ce fut par exemple le cas de Monet, qui répliquait les effets de flou que l’on peut trouver sur les appareils laissant un long temps de pose.
C’est d’ailleurs avec les artistes impressionnistes comme Monet que le paysage évolue. Les peintres accordent plus d’importance aux sensations que les paysages observés leur procure plutôt que la fidélité de leur représentation. En outre, ils peignent « sur le motif », c’est-à-dire directement en extérieur.
Entre le XIXème et le XXème siècle, les pointillistes et les symbolistes changent encore les paysages. Désormais, ils sont l’objet de considérations allant bien plus loin qu’un simple lieu ou environnement mais sont l’occasion de dépeindre des sociétés, des philosophies et des tendances comportementales. Par exemple, Paul Cézanne était connu pour souligner la solitude des individus dans ses paysages.