Portrait d'un noble, peut-être Adriaan van der Borcht
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Une nouvelle fois avec Antoine Van Dyck, son génie est mis au service d’un portrait. Ici, il s’agit d’une personnalité importante de l’époque, un noble appelé Adriaan van der Borcht. Celui-ci ne semble pas avoir marqué l’histoire tant peu d’informations à son sujet sont connues.
Cela montre que Van Dyck, à son époque, était suffisamment prolifique et accessible pour peindre non seulement les personnages principaux mais aussi des bourgeois et des nobles plus anonymes. Avec Velasquez, Van Dyck reste dans l’histoire de l’art comme les premiers grand maîtres à avoir majoritairement passé leur carrière à faire des portraits (pour les cours). Rembrandt, également, peut être cité comme un grand portraitiste à cette époque, mais a su se diversifier pour ne pas être considéré comme tel mais comme un peintre plus complet.
Les portraits, à cette époque étaient en pleine explosion : ils servaient à affirmer l’autorité des personnes peintes. A ce jeu, Van Dyck s’avère un maître : il ne manque pas de magnifier les personnes qui lui commandent des portraits. Ce noble, dont le regard parait perçant et la posture imposante, n’échappe pas à cette règle. Cela atteint un tel point que des témoins de l’époque expliquent : « Les élégants portraits de Van Dyck m'avaient donné une si belle idée de la beauté de toutes les dames anglaises, que j'ai été surprise de constater que la reine, qui avait l'air si belle dans la peinture, était une petite femme relevée sur sa chaise, les bras maigres et des dents longues comme des défenses dépassant de sa bouche… ».
Auteur : Anthony van Dyck
Dimensions de l'oeuvre original : 201cm x 138cm
Médium : huile sur toile